Boris témoigne de sa totale soumission

Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 11:31

Etre tenu en laisse par Maitresse Ava est synonyme de longs instants de bonheur à ses pieds, et au dessous de sa sculpturale anatomie. Car il n’est plus question de se tenir debout et au même niveau d’une telle dame, mais soit de marcher à quatre pattes, soit se mettre à genoux, soit même de ramper pour servir de carpette mobile ou pour le soir retrouver sa place au dessous de son lit. Maitresse dispose de plusieurs laisses pour hommes objets et utilise surtout celle constituée par une fine chaine métallique produisant de multiples et légers crissements lorsqu'elle est mise en mouvement. Cela amuse Maitresse Ava et mets également tous mes sens en éveil.
 

Le fait de se sentir tenu de la sorte par une main gracieuse et ferme à l’autre bout de la laisse procure un sentiment de bien-être incomparable : On se sent vraiment en sa possession, à son entière disposition mais également intégré à l’univers de sa Maitresse, comme pourrait l’être un meuble ou un objet quelconque. J’éprouve également des sensations très fortes lorsque cette dame sublime tire avec autorité sur la laisse en se promenant à demi nue dans sa propriété, attache la chaine au pied de son lit avant de se coucher, aux barreaux de la chaise de la salle de bain lorsqu’elle se maquille, détache le clip de fixation pour m’autoriser à rentrer chez moi. Bientôt, il ne me sera plus possible de me passer de ce lien de soumission à la femme sublime qui a une totale emprise sur mon existence.

 

Maitresse Ava m’a raconté qu'il y a quelques années, il lui est arrivé de rejoindre une amie dans un grand restaurant parisien avec deux hommes tenus en laisse. A l'époque, elle se sentait capable d'assumer pleinement un statut de dominatrice médiatisée. Les producteurs célèbres de talks show nocturnes l'ont harcelée de coups de téléphone pour qu'elle vienne dans leur émission raviver l'audimat. Depuis, Maitresse a constaté à quel point il pouvait être dangereux de trop d’exposer, bien que les mentalités évoluent, avec l’explosion du partage de photos ou de vidéos sur internet.
J’ai beaucoup fantasmé sur ce récit, sur les réactions des autres femmes présentes dans le restaurant,  car il m’aurait été difficile de refuser de prendre la place d’un des deux esclaves exhibés par une belle dominatrice blonde dans l’un des lieux parisiens les plus courrus !.

Par boris d'Ava - Publié dans : Boris témoigne de sa totale soumission
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Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 16:14

Pour les 

Pour les hommes qui ne sont pas attirés par les dominatrices, la jalousie est bien souvent maladive au point de leur faire commettre des actes parfois profondément stupides, parfois violents. Il m’est arrivé, avant de devenir l’esclave de Maîtresse Ava, d’éprouver ces sentiments d’aigreur parce qu’une jeune femme préférait coucher avec un autre homme que moi. Sans doute parce que je l’imaginais soumise comme bien d’autres résignées à ce type de relation.

 

La soumission à Maîtresse Ava m’a entre autres permis de me guérir de cette pulsion maladive qui touche tant de sujets masculins. Même lorsque Maîtresse évoque le plaisir qu’elle a eu de rencontrer tel ou tel soumis, cela me fait éprouver une sensation très positive : un mélange d’excitation et de fierté de voir la belle dame à laquelle on appartient accroître son pouvoir sur des dizaines, voire des centaines d’hommes, mais également mener une vie des plus épanouissantes.

 

L’autre jour Maîtresse énumérait parmi ses nombreux esclaves ceux qui lui donnaient le plus de satisfaction. Le choix était difficile constatait-elle car ils étaient fort nombreux à l’avoir servie ces derniers mois; et la plupart s'étaient mis en quatre pour la combler.
 

Elle me gratifia du titre de meilleur masseur de pieds car mes mains parvenaient à être à la fois douces et fermes pour lui procurer de longs instants de détente. Pour beaucoup d’hommes, il serait certainement plus intéressant d’être assigné à une partie plus intime de l’anatomie d'une telle déesse; mais au-delà du privilège de servir ses pieds divins, le masseur peut espérer admirer durant des périodes relativement longues son corps somptueux et ses tenues incroyablement sexy.

 

Je ne suis donc pas jaloux de Raphaël qui semble-t-il est le meilleur lécheur que Maîtresse ait dressé. Elle prend beaucoup de plaisir lorsqu’il s’applique à genoux, les mains attachées derrière le dos et faisant vibrer sa langue d’autant plus qu’il a un visage d’ange d’à peine 20 ans.

« L’autre jour, il a eu peur tellement je l’ai emprisonné longtemps entre mes cuisses pour atteindre l’orgasme »

 

Maîtresse continue son énumération dans les moindres détails.

 « Pour mes fesses, je préfère Cyril qui a des lèvres plutôt charnues pour un homme et qui me couvre de centaines de baisers d’une grande douceur. Il sait aussi parfaitement les masser comme si c’était la seule chose qui comptait dans sa vie »

En fait, les jeunes hommes sont plutôt utilisés pour l’adoration du corps de Maitresse et les autres doivent se contenter de subir de terribles punitions.

 

« Parmi les masochistes, il y a Jean-Michel qui est toujours célibataire à 40 ans alors qu’il ressemble au mari idéal, élégant et viril. Il ne repart jamais sans avoir le corps couvert de coups de talons-aiguille ou rougi à l’extrême par des dizaines de minutes de piétinement. Ce ferait un bon paillasson à l’entrée d’une soirée dans ma nouvelle villa d'Antibes ».

 

Et puis, Maîtresse cite Sergueï, un russe pesant un bon quintal, assurément le plus résistant au fouet. Puis Andrew, un écossais qui semble suffisamment motivé pour prendre l'Eurostar chaque semaine afin de se faire zèbrer le dos. Ils acceptent en silence, ou en mettant en sourdine des râles très masculins, les douleurs infligées et en demandent encore davantage.
« Plus ils prennent de l'age, plus ils sont masos et pervers !! Tiens, l’autre jour, mon voisin du dessous est venu me supplier de le gifler alors que j’allais partir à un dîner. Qu’est-ce qu’il s’est pris !! J’en avais mal au mains ».

 

Par boris d'Ava - Publié dans : Boris témoigne de sa totale soumission
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Lundi 16 février 1 16 /02 /Fév 17:40
C'est arrivé Samedi il me semble, alors que Maitresse Ava me tendais le pied qu'elle souhaitait me voir masser, un animateur de France Musique, entre deux sonates de Bach, fit une courte allusion au récent gagnant du Loto. En ces temps de crise, quelqu'un avait empoché par le plus simple des hasards la coquette somme de 17 millions d'Euros. Cela amusa Maitresse qui comme moi n'a pratiquement jamais joué à ce défouloir surtout synonyme de vide-poches pour les petites gens.

- Et toi Boris, si jamais tu gagnais au Loto, qu'est-ce que tu ferais de tout cet argent ?
- Ce serait ,Maitresse, surtout le moyen de réaliser les fantasmes de soumission les plus poussés.

Maitresse Ava m'avait déjà mené petit à petit très loin dans la soumission, avec à la fois une dose de souffrances infligées de plus en plus consistante, des humiliations qui ne pourraient  sans doute pas être mentionnées ici, et mon emploi comme domestique devant ses meilleures amies. Mon existence était entièrement conditionnée par les exigences de ma maitresse et le reste de ma vie notamment professionnelle passait maintenant au second plan.

- Tiens donc, Boris, pourrais tu me dire quel serait selon toi le fantasme à réaliser au cas où tu devenais l'un des gagnants de ces loteries?
- Ce serait par exemple vous emmener une semaine à l'Other World Kingdom en Tchéquie.Vous vous rappelez;  le domaine où les femmes règnent réellement sur des hommes réduits à l'état de simple objets.



Effectivement, nous en avions parlé quelquefois et notamment le jour où un article du Figaro évoquait cette immense propriété près de la Slovaquie, transformée en royaume recevant les dominatrices les plus célèbres avec leurs esclaves souvent  fortunés. Maitresse Ava n'était pas du genre à trop vouloir se montrer, il n'était pas question pour elle de participer à des videos diffusées plus tard sur le site ou vendues dans le commerce. Le principal intérêt serait de se trouver durant quelques jours totalement coupé du monde réel, avec des lois propres à la suprémacie féminine, des hommes totalement asservis et n'ayant aucune possibilité de refuser un ordre, un caprice, un jeu cruel ou un chatiment douloureux.

- Pourquoi pas Boris ? Ce pourrait être excitant que de te cravacher devant mes amies dominatrices de Belgique ou de Suisse.
Quand elle s'était rendu à la soirée annuelle de Démonia, Maitresse Ava avait trouvé sympathiques des dominatrices notoires comme Athena ou Anya qui se rendent régulièrement dans l'Other World Kingdom. Elles y sont invitées par leurs soumis, ou pour réaliser des vidéos ou des scéances photos dans un univers entièrement dédié à leur sadisme.

Lors d'une autre rencontre, j'apportai à Maitresse des DVD achetés sur le site d'OWK . Sur certains figuraient des dominatrices célèbres et sur d'autres des jeunes femmes souvent issues de la photo de charme : Ces dernières semblent trouver agréable de gagner leur vie faisant ramper un chef d'entreprise venu discrêtement d'Allemagne, ou en piétinant avec des talons acérés le dos d'un banquier britannique.

Maitresse Ava aimait beaucoup la vidéo tournée au comptoir de la discothèque d'OWK où 4 hommes étaient utilisés comme simples tabourets et repose-pieds par  Madame Jana et Madame Elena. Les deux jolies dominatrices prenaient du bon temps, buvaient du champagne en s'asseyant sur le visage des homme-siège sans leur prêter la moindre attention. Les esclaves peinaient pour les satisfaire et ne pas bouger alors que visiblement ils étaient au bord de l'asphyxie, tant les jolies fessiers pressuraient leur bouche et leur nez.
- Tu devras me servir ainsi Boris, pourras-tu tenir aussi longtemps ?
- Je m'entrainerai avant, Maitresse, afin de pouvoir rester plusieurs minutes sans respirer.
- De toutes façons, si tu remues la tête pour reprendre ton souffle, mes amies exigeront que tu sois sévèrement chatié. Et ce ne seront pas les outils qui me manqueront pour cela.

En effet, les autres vidéos permettaient de constater à quel point le domaine était équipé de salles adaptés aux punitions les plus extrèmes. On y voyait Maitresse Anya, en tenue de cuir fort élégante, flageller sans la moindre retenue deux jeunes éphèbes tout juste sortis de la prison où ils croupissaient. De multiples manières d'attacher ou d'enfermer étaient disponibles comme ces carcans emprisonnant à la fois la tête et les mains, des tables qui ne laissaient dépasser que la tête de l'infortuné sujet, ou encore des treuils pour suspendre les esclaves par les pieds. Les dominatrices utilisaient beaucoup la cire chaude des bougies pour faire rougir les chairs masculines, des pinces pour les seins, des ceintures de chasteté et bien entendu un assortiment de fouets et de cravaches impressionnant.

- Cela me tente beaucoup cette expérience Boris, mais faut-il attendre que tu gagnes au Loto pour espérer que tu m'y invite ?
- Je ne sais pas comment m'y prendre autrement, Maitresse.
Maitresse Ava me fit venir à genoux devant elle alors qu'elle était lascivement installé sur son canapé de cuir. Elle me gifla alors à deux reprises tout en me souriant.
- Boris, maitenant que tu m'as donné envie d'y aller, tu va devoir te débrouiller pour m'y emmener dans les plus brefs délais . Tu n'as qu'à travailler davantage en pensant à moi, trouver un emploi mieux rémunéré, tu peux  aussi jouer en bourse vu qu'elle est tellement descendue. Allez, va-t-en maintenant !!!

Maitresse m'avait pris à mon propre jeu,; le séjour à OWK était  comparable à un autre de grand standing dans un lieu exotique. Ce n'était pas seulement réservé à des gagnants du Loto ou à des grandes fortunes. Il me fallait désormais travailler davantage avec à la clef, la réalisation d'un rêve présent depuis si longtemps dans mon esprit.






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Jeudi 22 janvier 4 22 /01 /Jan 16:19

 
Maitresse Ava m'avait demandé de la rejoindre dans sa propriété située près d'Antibes, où elle aime passer des semaines au calme, loin de la trépidation de la vie parisienne. Depuis son installation, elle a tout de même tissé de nombreuses relations et en particulier avec des jeunes femmes qui l'accompagnent dans les soirées et les boîtes de nuits de la région.

"Voici Karen et Jennifer, deux amies qui sont également invitées à une soirée sur les hauteurs de Nice, dans la propriété d'un milliardaire russe. Tu seras notre chauffeur et tu attendras dans la voiture jusqu'à ce qu'on t'envoie un SMS". Les deux jeunes femmes, agées de vingt-cinq ans tout au plus, l'une blonde, l'autre brune et pulpeuse étaient vêtues de robes légères et provocantes. Elles restaient presque totalement indifférentes à ma présence puisque l'autorité de maitresse Ava m'interdisait d'être autre chose qu'un être docile totalement dénué de personnalité. Maitresse avait du me présenter comme le domestique de sa propriété parisienne, pouvant à la fois servir de jardinier, de cuisinier ou de masseur attentionné.

La fin du trajet fut relativement longue car la route devenait très sinueuse. Nous pûmes accéder à une allée gardée par 2 vigiles de forte carrure et les trois créatures divines sortirent de la BMW de location pour s'engouffrer dans la propriété d'où résonnait une musique puissante. Il me fallu ressortir et trouver un terre-plein à quelques centaines de mètres en contrebas pour m'arrêter au milieu d'autres voitures de grosse cylindrée, avec dans certaines des chauffeurs somnolant à l'intérieur. J'attendis patiemment cinq longues heures alors que Maitresse et ses amies devaient s'amuser à danser, collectionner les cocktails et admirateurs béats, et à retrouver d'autres amies partageant leur vie insouciante et festive.

C'est presque à l'aube que Maitresse me demanda de revenir les chercher alors qu'une partie des invités commençaient à déserter la soirée. Elle n'était plus accompagnée que de Karen, la blonde au visage d'ange car semble-t-il Jennifer était sur une belle affaire, "un vrai de vrai" affirmait-elle. Il y avait toutefois un autre homme avec elles, qui tentait vainement de poursuivre une conversation qui n'intéressait sans doute que lui. "Quel pot de colle celui-là; c'est toi ou c'est moi qui lui a tapé dans l'oeil? " demanda Maitresse Ava à son amie. Elles discutèrent à voix basse et décidèrent de donner une bonne leçon à ce type que l'alcool avait rendu certes entreprenant mais d'une lourdeur impardonnable. Il était loin d’être laid, la trentaine, bien habillé et faisant sans doute partie de ces jeunes businessmen qui se croient irrésistibles en toutes circonstances. C'était une sorte de victime idéale pour que les deux dames et peut-être Jennifer également puissent bien terminer leur soirée.

Il s'appelait Gary et était résident monégasque. Karen lui demanda de nous suivre avec sa Porsche Cayenne suréquipée; il cherchait parfois à nous impressionner en accélérant pour recoller à quelques centimètres dans les quelques lignes droites qui menèrent à la Villa de Maitresse Ava. Durant le trajet Maitresse appela Jennifer qui se trouvait dans un autre 4x4 en compagnie d'un autre objet masculin. Elle non plus ne semblait pas considérer son aventure comme autre chose que l'aboutissement d'une soirée comme les autres et le "vrai de vrai" n'était semble-t-il destiné qu'à finir sur un tableau de statistiques qu'elle tenait sur son smart-phone. "Demande lui s'il n'a pas envie de baiser dans une chambre avec vue sur mer, ma chambre d'amis est disponible cette nuit" proposa Maitresse.

Ce fut donc trois voitures de grosse cylindrée qui se retrouvèrent devant le portail de la propriété de Maitresse. Ma tache consista à faire entrer tout le monde le plus rapidement possible sans éveiller le quartier d’ordinaire plutôt calme. Les dames prirent place sur le canapé dans le grand salon alors que je m’occupais de leur fournir des boissons fraîches, à peine agrémentées d’alcool. Jennifer collait sa bouche sur celle d’ Andrea, le beau brun ténébreux qu’elle souhaitait consommer avant le lever du soleil ; elle se leva et entraina à l’étage au dessus l’homme qui avait bien dix ou quinze ans de plus qu’elle.

Gary ne semblait guère impressionné et se crut au contraire obligé de poser ses mains peu délicates sur la cuisse de Karen. - De toutes manières, Gary, si tu tiens aussi mal l’alcool, on ne risque pas de faire grand-chose.

 - Mais non, répondit le jeune play-boy, j’assure toujours et peut même vous prendre toutes les deux l’une après l’autre. Maitresse pouffa de rire devant une telle marque de goujaterie et de prétention. Il me semble bien qu’elle s’attendait d’un moment à l’autre à ce que le jeune homme pourri par l’argent commette une telle erreur. Elle saisit son téléphone portable et enclencha discrètement le mode vidéo.

- Ah bon Gary, tu as déjà beaucoup fait l’amour avec deux femmes en même temps ??
- Bien sûr, je connais un russe qui me fournit des call-girls tout droit venues de là-bas et j’ai les moyens de m’en payer une ou deux chaque semaine.

Très intéressant. Maitresse était maintenant certaine d’avoir affaire au genre d’hommes qu’elle aime manipuler et humilier, non pas pour les posséder comme ses fidèles soumis, mais pour les remettre bien à leur place. Gary continua de plus belle et livra encore quelques détails sordides sur certaines de ses soirées tarifées ce qui permis encore d’aggraver son cas. Maitresse se leva et se rapprocha du jeune homme avec autorité.

- Tu vois, pauvre idiot, je viens de tout enregistrer ce que tu as raconté et de le télécharger sur ma messagerie internet. Si tu ne nous obéis pas, imagine l’usage que l’on pourra en faire. Mets-toi à genoux pour commencer !!!

Saisi de panique, le Casanova devint tout rouge d’autant plus qu’il se prit une paire de gifles magistrales de la part de Karen. A peine eut-il le temps de se ressaisir que Maitresse le pris par les cheveux et attira sa tête vers le sol. - Tu vas lécher nos pieds Gary, d’abord avec les escarpins, puis entre nos orteils.
- Aie, je ferais ce que vous voulez, mais je vous supplie de supprimer la vidéo ?

Occupé à nettoyer et à ranger la vaisselle, j’essayai de saisir l’essentiel du spectacle. De voir à quel point les deux jolies dames avaient pu rabaisser un macho d’opérette en un esclave soumis à leurs désirs. Non seulement, il devait prendre dans sa bouche chacun des orteils de Maitresse et de Karen, mais en plus il entendait comme nous tous Jennifer chevaucher son étalon en poussant de multiples cris de satisfaction. Lorsque la carpette essayait de remonter le long de la jambe de Maitresse pour espérer admirer son entrejambe, ou qu’il posait sa main sur la cuisse de Karen, une gifle dénuée de toute retenue faisait brusquement avorter la tentative maladroite.

Mais c’est à croire, soit qu’il appréciait ce dressage inflexible, ou alors que le sentiment de frustration causé par les bruits provenant du dessus devenait trop insupportable pour lui. Maitresse prenait un malin plaisir à pousser toujours plus loin l’humiliation du jeune homme. Elle et Karen faisait semblant de s’étreindre alors que maintenant leurs talons aiguilles martyrisait le torse dodu de leur victime allongée à même le sol. Elles aussi poussaient des soupirs de dames en train de s’adonner à quelque plaisir égoïste, et Gary ne devait pas se douter qu’il ne s’agissait que d’une mise en scène pour le pousser dans ses derniers retranchements.

 C’était déjà pour moi très difficile de me concentrer sur mon travail de domestique, de rester chaste et de ne point toucher à mon entrejambe. Je savais que Maitresse interdisait formellement à ses esclaves la moindre activité sexuelle en sa présence, et en dehors d’un ordre explicite de se vider sans bien entendu de réelle jouissance. Toute désobéissance aurait certainement été sanctionnée par un renvoi immédiat et peut-être l’exclusion définitive du cheptel de Maitresse Ava.

Gary, lui non plus n’osait guère porter la main à son sexe mais tout simplement pour ne pas risquer être humilié davantage ; il avait déjà été pris au dépourvu par la détermination et l’autorité des deux dames qu’il pensait faciles à impressionner. Pauvre Gary, il n’était pas au bout de ses peines. Maitresse le pris par les cheveux et l’emmena à l’étage ; non pas pour lui faire espérer quelque relation plus poussée, mais pour qu’il soit obligé d’admirer le spectacle de Jennifer et d’Andrea dont les ébats continuaient d’être torrides.

Le pire est que Jennifer cru qu’il s’était discrètement introduit dans la chambre de se propre initiative, comme un voyeur particulièrement pervers. Quand elle redescendit satisfaite et en sueur, elle se précipita sur lui en colère pour le gifler. Karen, qui était loin de l’ange blond que son visage laissait supposer, retint son bras et lui suggéra une autre forme de punition. « Ah, comme il a voulu se rincer l’œil comme un sale pervers ; il peut se faire pardonner en te nettoyant la chatte » .

« Quelle bonne idée » approuva Jennifer qui comme de nombreuses femmes exigeantes n’était souvent pas rassasiée même après plusieurs orgasmes partagés avec son amant. Elle colla sa vulve contre le visage de leur victime d’un soir en lui ordonnant de faire disparaître les dernières traces de sperme qui s’étaient logées dans les parties les plus secrètes de son intimité. Gary, fort dégouté par l’idée de recueillir dans sa bouche un liquide blanchâtre provenant de la verge d’un homme résista quelques instants puis considéra sans doute que l’occasion lui était donné d’avoir enfin une expérience sexuelle totalement exempte de toute considération financière.
Il se résignait comme bien d’autres esclaves de ces femmes au pouvoir érotique hors du commun, à mettre de coté sa fierté de mâle prétendument dominant, pour donner du plaisir sans rien recevoir en échange.

Malgré la fatigue Maitresse affichait un beau sourire de satisfaction. Cette soirée avait tenu toutes ses promesses et elle en annonçait d’autres, qui sait encore plus croustillantes et débridées. Il était toutefois temps d’en finir et après que Jennifer soit remontée pour retrouver son amant endormi, Karen laissa Gary faire admirer ses progrès et sa motivation en matière de rapport buccaux-génitaux. Il finit enfin par commettre l’erreur fatale en glissant maladroitement sa main dans son pantalon. La gifle de Karen fut sans doute la plus sèche et la plus cinglante de la soirée.
Maitresse laissa à peine le temps au novice en soumission de reprendre ses esprits, elle lui agrippa l’oreille et le traina vers la porte principale. « Allez va-t-en, on t’a assez vu ; et ne t’avise pas de revenir roder dans les environs, sinon on balance ta vidéo sur des centaines de boites mail ».

De retour sur le canapé Maitresse et Karen partagèrent un fou rire qui dura plusieurs minutes. « Eh bien, Karen, je ne te savais pas dominante à ce point. Pauvre Gary. Tu penses le revoir ? » « Bien sûr. S’il apprend à se tenir, il servira au moins à tenir la chandelle quand je baiserais avec un de mes amants, ou une de mes amantes ». Sur ces mots, Karen monta à l’étage pour rejoindre le lit déjà occupé par Jennifer et le seul homme pour l’instant autorisé à les honorer.

Le soleil commençait à se lever quand Maitresse se mit enfin au lit, non sans m’avoir au préalable imposé un face-sitting destiné à la détendre et à mieux trouver le sommeil.
Pendant que ma bouche essayait de la satisfaire, elle jouait avec son smartphone et effaça notamment la vidéo de sa victime d'un soir. Ensuite, elle m’ordonna de sortir de sa chambre et de dormir dans une remise située juste à coté, à même le sol. N’ayant toujours pas le droit de prendre le moindre plaisir, je mis très longtemps avant de m’endormir et les scènes souvent très érotiques dont j’avais été le témoin repassèrent un nombre incalculable de fois dans ma tête. C’était tout de même un immense privilège que d'être l'esclave consentant  d' une dame aussi exceptionnelle.

Par boris d'Ava - Publié dans : Boris témoigne de sa totale soumission
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Jeudi 8 janvier 4 08 /01 /Jan 23:09
 


« Tu as eu ce que tu voulais, Boris, tu as bien pris le fouet !!! »
Maitresse avait raison. Cela faisait des mois que je lui parlais de mon souhait de subir une véritable expérience de punition au fouet et dans un lieu approprié. Un lieu où personne ne peut entendre les cris de douleur, et parfois de plaisir des esclaves les plus masochistes. On voit parfois sur certains sites internet, des hommes supporter des scéances de fouet où les dominatrices semblent les frapper sans la moindre retenue, au point de rendre leur corps écarlates, couverts de marques et zebrures. Pour moi, c'était plus que la recherche du plaisir dans la douleur, une manière de prouver ma soumission totale à cette déesse.

Durant nos précédentes rencontres, Maitresse avait comblé toutes mes aspirations d’esclave docile et totalement sous l’emprise de son pouvoir érotique. Elle avait pu constater avec satisfaction a quel point ses ordres étaient éxécutés au doigt et à l’œil, quelle application son nouveau soumis mettait à masser son corps somptueux, à lêcher entre ses divins orteils, parfois des zones plus intimes, mais également jusqu’au dessous de ses escarpins. Progressivement, elle m’avait imposé des humiliations de plus en plus poussées, tenue en laisse, gifles, crachats, piétinement, ligottage prolongé au pied de son lit ou à sa cuvette de toilettes.

Pour elle, j’avais mis ma vie sociale entre parenthèse. De retour de mon travail sans intérêt mais permettant de vivre à l’abri du besoin, je me précipitais sur ma boite mail ou sur mon répondeur téléphonique espérant un message de sa part. Maitresse était comme souvent partie dans sa propriété située sur la Cote d’Azur, et m’avait prévenu qu’elle me convoquerait à son retour dans la capitale.

Après des semaines d’attente, je reçu un appel non pas le soir, mais en milieu de journée sur mon lieu de travail. Maitresse venait de descendre de l’avion et me convoquait d’urgence pour ranger ses affaires dans son appartemment, pour certaines les repasser pendant qu’elle se reposerait. Je faisais appel à toute mon imagination pour trouver le pretexte à un départ du bureau, puis me précipitais au pied de l’appartement de Maitresse.
Elle arriva dans un taxi, élégamment vétue d’un tailleur bleu marine, et me laissa prendre les 2 lourdes valises pour les amener au bas de l’ascenseur.

Après 3 semaines de vacances et de nombreuses soirées, les multiples tenues de Maitresses devaient être triées, soit pour être emmenées au pressing, soit pour être repassées, ou soit encore pour être mises en machine. Les chaussures, bottes et escarpins devaient également être cirées . Ces tâches me prirent le reste de la journée, malgré une grande application au travail, mais ce fut parfois très gratifiant car cela me permettait d’admirer Maitresse qui se prelassait à demi-nue sur son canapé de cuir.

« Tu mérites une bonne récompense, mon Boris, tu vas y avoir droit à ta scéance de véritable maso ». Dans sa chambre, elle appela une de ses amies, avec qui elle eu une conversation ponctuée d’éclats de rire. Un taxi nous conduisit dans les environs de Montmartre et s’arrêta dans une petite rue montante. Un lourd portail métallique s’ouvrit et une femme à l’allure altière nous accueilli. Sophie était une belle dame brune d’une cinquantaine d’année, aux cheveux mi-long, dotée d’une autorité naturelle et me rappelant l’une des cadres sup de mon entreprise. Pour autant, je ne l’avais jamais vu parmi les dominatrices connues de la capitale.
L’amie de Maitresse disposait en fait au sous-sol d’un immense dongeon de torture et d’emprisonnement. Des accessoires parfois inquiétants étaient disposés sur des étagères et de nombreux fouets étaient suspendus au murs. Les lieux disposaient également de plusieurs cages très basses obligeant les esclaves à rester au mieux à genoux. Mais il y a avait surtout dans cette espace sombre, des attaches venant des plafonds, d’autres scellées au sol, pour maintenir un soumis dans la position idéale pour prendre le fouet.

La propriétaire des lieux me pointa du doigt.
« Alors, deshabille-toi, j’ai hâte de te voir souffrir et supplier ta Maitresse »
Une fois nu, on me demanda d’attacher mes chevilles aux chaines scellées sur le sol, mes poignets à celles venant du plafond. Puis Sophie tourna une lourde manivelle qui tira mes bras vers le haut en obligeant à rester debout, et presque sur la pointe des pieds.

Le premier coup de fouet reçu sur le dos fut une surprise. Maitresse ne perdit pas une seconde et commença la scéance à un rythme déjà soutenu avec un fouet court . Les coups n’était pas encore très appuyés mais la répétition sur les mêmes parties du corps rendirent rapidement la douleur presque insupportable. Je poussais des cris, peut-être en raison de cette douleur, mais également parce que pour une fois j’avais l’occasion d’exprimer un masochisme inassouvi.
En effet, la douleur fit rapidement place à une forme de plaisir, un plaisir seulement interrompu par les coups plus sévères portés par Maitresse et qui repoussaient chaque fois plus loin mes limites. Sophie semblait elle aussi apprécier le spectacle, elle riait parfois en entendant mes cris, et m’insultait copieusement. Elle proposait également à Maitresse d’essayer des fouets destinés aux esclaves les plus endurants.

Lors d’une pause au cours de laquelle les 2 dames s’offrirent une boisson raffraichissante, Maitresse enleva son string, s’en servi pour me gifler le visage puis l’enfonça de force dans ma bouche. Sophie s’était également dénudée, et commençait à enfoncer ses doigt dans une toison pubienne très fournie.
Mon corps fut parcouru également de leurs mains, qui pincèrent maintes fois ma poitrine, ma verge, puis me giflèrent en riant.

La deuxième partie de la scéance de fouet fut tout aussi intense que la première. Mon corps était prêt à imploser, ma peau semblait gagnée par une brulûre éternelle. Il m’est sans doute arrivé de perdre connaissance, d’être à deux doigts d’avaler la divine lingerie, car les derniers coups donnés par Sophie furent les plus violents de la soirée.
Finalement, je fus liberé mais du encore rester à genoux, aux pieds des deux dominatrices qui racontèrent leur dernières vacances, sans ne plus me prêter la moindre attention. Maitresse se contenta d’un regard et de quelques mots.

« Tu as eu ce que tu voulais, Boris, n’est-ce-pas ?? »

Desormais, je me sentais totalement en sa possession.

Par boris d'Ava - Publié dans : Boris témoigne de sa totale soumission
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