Maitresse Ava m'avait demandé de la rejoindre dans sa propriété située près d'Antibes, où elle aime passer des semaines au calme, loin de la trépidation de la vie parisienne. Depuis son
installation, elle a tout de même tissé de nombreuses relations et en particulier avec des jeunes femmes qui l'accompagnent dans les soirées et les boîtes de nuits de la région.
"Voici Karen et Jennifer, deux amies qui sont également invitées à une soirée sur les hauteurs de Nice, dans la propriété d'un milliardaire russe. Tu seras notre chauffeur et tu attendras dans la
voiture jusqu'à ce qu'on t'envoie un SMS". Les deux jeunes femmes, agées de vingt-cinq ans tout au plus, l'une blonde, l'autre brune et pulpeuse étaient vêtues de robes légères et provocantes.
Elles restaient presque totalement indifférentes à ma présence puisque l'autorité de maitresse Ava m'interdisait d'être autre chose qu'un être docile totalement dénué de personnalité. Maitresse
avait du me présenter comme le domestique de sa propriété parisienne, pouvant à la fois servir de jardinier, de cuisinier ou de masseur attentionné.
La fin du trajet fut relativement longue car la route devenait très sinueuse. Nous pûmes accéder à une allée gardée par 2 vigiles de forte carrure et les trois créatures divines sortirent de la
BMW de location pour s'engouffrer dans la propriété d'où résonnait une musique puissante. Il me fallu ressortir et trouver un terre-plein à quelques centaines de mètres en contrebas pour
m'arrêter au milieu d'autres voitures de grosse cylindrée, avec dans certaines des chauffeurs somnolant à l'intérieur. J'attendis patiemment cinq longues heures alors que Maitresse et ses amies
devaient s'amuser à danser, collectionner les cocktails et admirateurs béats, et à retrouver d'autres amies partageant leur vie insouciante et festive.
C'est presque à l'aube que Maitresse me demanda de revenir les chercher alors qu'une partie des invités commençaient à déserter la soirée. Elle n'était plus accompagnée que de Karen, la blonde au
visage d'ange car semble-t-il Jennifer était sur une belle affaire, "un vrai de vrai" affirmait-elle. Il y avait toutefois un autre homme avec elles, qui tentait vainement de poursuivre une
conversation qui n'intéressait sans doute que lui. "Quel pot de colle celui-là; c'est toi ou c'est moi qui lui a tapé dans l'oeil? " demanda Maitresse Ava à son amie. Elles discutèrent à voix
basse et décidèrent de donner une bonne leçon à ce type que l'alcool avait rendu certes entreprenant mais d'une lourdeur impardonnable. Il était loin d’être laid, la trentaine, bien habillé et
faisant sans doute partie de ces jeunes businessmen qui se croient irrésistibles en toutes circonstances. C'était une sorte de victime idéale pour que les deux dames et peut-être Jennifer
également puissent bien terminer leur soirée.
Il s'appelait Gary et était résident monégasque. Karen lui demanda de nous suivre avec sa Porsche Cayenne suréquipée; il cherchait parfois à nous impressionner en accélérant pour recoller à
quelques centimètres dans les quelques lignes droites qui menèrent à la Villa de Maitresse Ava. Durant le trajet Maitresse appela Jennifer qui se trouvait dans un autre 4x4 en compagnie d'un
autre objet masculin. Elle non plus ne semblait pas considérer son aventure comme autre chose que l'aboutissement d'une soirée comme les autres et le "vrai de vrai" n'était semble-t-il destiné
qu'à finir sur un tableau de statistiques qu'elle tenait sur son smart-phone. "Demande lui s'il n'a pas envie de baiser dans une chambre avec vue sur mer, ma chambre d'amis est disponible cette
nuit" proposa Maitresse.
Ce fut donc trois voitures de grosse cylindrée qui se retrouvèrent devant le portail de la propriété de Maitresse. Ma tache consista à faire entrer tout le monde le plus rapidement possible sans
éveiller le quartier d’ordinaire plutôt calme. Les dames prirent place sur le canapé dans le grand salon alors que je m’occupais de leur fournir des boissons fraîches, à peine agrémentées
d’alcool. Jennifer collait sa bouche sur celle d’ Andrea, le beau brun ténébreux qu’elle souhaitait consommer avant le lever du soleil ; elle se leva et entraina à l’étage au dessus l’homme qui
avait bien dix ou quinze ans de plus qu’elle.
Gary ne semblait guère impressionné et se crut au contraire obligé de poser ses mains peu délicates sur la cuisse de Karen. - De toutes manières, Gary, si tu tiens aussi mal l’alcool, on ne
risque pas de faire grand-chose.
- Mais non, répondit le jeune play-boy, j’assure toujours et peut même vous prendre toutes les deux l’une après l’autre. Maitresse pouffa de rire devant une telle marque de goujaterie et de
prétention. Il me semble bien qu’elle s’attendait d’un moment à l’autre à ce que le jeune homme pourri par l’argent commette une telle erreur. Elle saisit son téléphone portable et enclencha
discrètement le mode vidéo.
- Ah bon Gary, tu as déjà beaucoup fait l’amour avec deux femmes en même temps ??
- Bien sûr, je connais un russe qui me fournit des call-girls tout droit venues de là-bas et j’ai les moyens de m’en payer une ou deux chaque semaine.
Très intéressant. Maitresse était maintenant certaine d’avoir affaire au genre d’hommes qu’elle aime manipuler et humilier, non pas pour les posséder comme ses fidèles soumis, mais pour les
remettre bien à leur place. Gary continua de plus belle et livra encore quelques détails sordides sur certaines de ses soirées tarifées ce qui permis encore d’aggraver son cas. Maitresse se leva
et se rapprocha du jeune homme avec autorité.
- Tu vois, pauvre idiot, je viens de tout enregistrer ce que tu as raconté et de le télécharger sur ma messagerie internet. Si tu ne nous obéis pas, imagine l’usage que l’on pourra en faire.
Mets-toi à genoux pour commencer !!!
Saisi de panique, le Casanova devint tout rouge d’autant plus qu’il se prit une paire de gifles magistrales de la part de Karen. A peine eut-il le temps de se ressaisir que Maitresse le pris par
les cheveux et attira sa tête vers le sol. - Tu vas lécher nos pieds Gary, d’abord avec les escarpins, puis entre nos orteils.
- Aie, je ferais ce que vous voulez, mais je vous supplie de supprimer la vidéo ?
Occupé à nettoyer et à ranger la vaisselle, j’essayai de saisir l’essentiel du spectacle. De voir à quel point les deux jolies dames avaient pu rabaisser un macho d’opérette en un esclave soumis
à leurs désirs. Non seulement, il devait prendre dans sa bouche chacun des orteils de Maitresse et de Karen, mais en plus il entendait comme nous tous Jennifer chevaucher son étalon en poussant
de multiples cris de satisfaction. Lorsque la carpette essayait de remonter le long de la jambe de Maitresse pour espérer admirer son entrejambe, ou qu’il posait sa main sur la cuisse de Karen,
une gifle dénuée de toute retenue faisait brusquement avorter la tentative maladroite.
Mais c’est à croire, soit qu’il appréciait ce dressage inflexible, ou alors que le sentiment de frustration causé par les bruits provenant du dessus devenait trop insupportable pour lui.
Maitresse prenait un malin plaisir à pousser toujours plus loin l’humiliation du jeune homme. Elle et Karen faisait semblant de s’étreindre alors que maintenant leurs talons aiguilles martyrisait
le torse dodu de leur victime allongée à même le sol. Elles aussi poussaient des soupirs de dames en train de s’adonner à quelque plaisir égoïste, et Gary ne devait pas se douter qu’il ne
s’agissait que d’une mise en scène pour le pousser dans ses derniers retranchements.
C’était déjà pour moi très difficile de me concentrer sur mon travail de domestique, de rester chaste et de ne point toucher à mon entrejambe. Je savais que Maitresse interdisait
formellement à ses esclaves la moindre activité sexuelle en sa présence, et en dehors d’un ordre explicite de se vider sans bien entendu de réelle jouissance. Toute désobéissance aurait
certainement été sanctionnée par un renvoi immédiat et peut-être l’exclusion définitive du cheptel de Maitresse Ava.
Gary, lui non plus n’osait guère porter la main à son sexe mais tout simplement pour ne pas risquer être humilié davantage ; il avait déjà été pris au dépourvu par la détermination et l’autorité
des deux dames qu’il pensait faciles à impressionner. Pauvre Gary, il n’était pas au bout de ses peines. Maitresse le pris par les cheveux et l’emmena à l’étage ; non pas pour lui faire espérer
quelque relation plus poussée, mais pour qu’il soit obligé d’admirer le spectacle de Jennifer et d’Andrea dont les ébats continuaient d’être torrides.
Le pire est que Jennifer cru qu’il s’était discrètement introduit dans la chambre de se propre initiative, comme un voyeur particulièrement pervers. Quand elle redescendit satisfaite et en sueur,
elle se précipita sur lui en colère pour le gifler. Karen, qui était loin de l’ange blond que son visage laissait supposer, retint son bras et lui suggéra une autre forme de punition. « Ah, comme
il a voulu se rincer l’œil comme un sale pervers ; il peut se faire pardonner en te nettoyant la chatte » .
« Quelle bonne idée » approuva Jennifer qui comme de nombreuses femmes exigeantes n’était souvent pas rassasiée même après plusieurs orgasmes partagés avec son amant. Elle colla sa vulve contre
le visage de leur victime d’un soir en lui ordonnant de faire disparaître les dernières traces de sperme qui s’étaient logées dans les parties les plus secrètes de son intimité. Gary, fort
dégouté par l’idée de recueillir dans sa bouche un liquide blanchâtre provenant de la verge d’un homme résista quelques instants puis considéra sans doute que l’occasion lui était donné d’avoir
enfin une expérience sexuelle totalement exempte de toute considération financière.
Il se résignait comme bien d’autres esclaves de ces femmes au pouvoir érotique hors du commun, à mettre de coté sa fierté de mâle prétendument dominant, pour donner du plaisir sans rien recevoir
en échange.
Malgré la fatigue Maitresse affichait un beau sourire de satisfaction. Cette soirée avait tenu toutes ses promesses et elle en annonçait d’autres, qui sait encore plus croustillantes et
débridées. Il était toutefois temps d’en finir et après que Jennifer soit remontée pour retrouver son amant endormi, Karen laissa Gary faire admirer ses progrès et sa motivation en matière de
rapport buccaux-génitaux. Il finit enfin par commettre l’erreur fatale en glissant maladroitement sa main dans son pantalon. La gifle de Karen fut sans doute la plus sèche et la plus cinglante de
la soirée.
Maitresse laissa à peine le temps au novice en soumission de reprendre ses esprits, elle lui agrippa l’oreille et le traina vers la porte principale. « Allez va-t-en, on t’a assez vu ; et ne
t’avise pas de revenir roder dans les environs, sinon on balance ta vidéo sur des centaines de boites mail ».
De retour sur le canapé Maitresse et Karen partagèrent un fou rire qui dura plusieurs minutes. « Eh bien, Karen, je ne te savais pas dominante à ce point. Pauvre Gary. Tu penses le revoir ? » «
Bien sûr. S’il apprend à se tenir, il servira au moins à tenir la chandelle quand je baiserais avec un de mes amants, ou une de mes amantes ». Sur ces mots, Karen monta à l’étage pour rejoindre
le lit déjà occupé par Jennifer et le seul homme pour l’instant autorisé à les honorer.
Le soleil commençait à se lever quand Maitresse se mit enfin au lit, non sans m’avoir au préalable imposé un face-sitting destiné à la détendre et à mieux trouver le sommeil.
Pendant que ma bouche essayait de la satisfaire, elle jouait avec son smartphone et effaça notamment la vidéo de sa victime d'un soir. Ensuite, elle m’ordonna de sortir de sa chambre et de dormir
dans une remise située juste à coté, à même le sol. N’ayant toujours pas le droit de prendre le moindre plaisir, je mis très longtemps avant de m’endormir et les scènes souvent très érotiques
dont j’avais été le témoin repassèrent un nombre incalculable de fois dans ma tête. C’était tout de même un immense privilège que d'être l'esclave consentant d' une dame
aussi exceptionnelle.
Derniers Commentaires