Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 21:39

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Le texto de Maitresse arriva alors que ma journée au bureau commençait à peine par des problèmes d’écritures  comptables presque insolubles. Le texte du SMS « Boris, rappelle-moi tout de suite » était celui que la belle dame utilisait lorsqu’elle avait besoin d’un esclave pour un service immédiat.

Je sortais précipitamment dans la rue, et après plusieurs tentatives sur une ligne occupée parvint à savoir quelle serait la prochaine tâche qui me serait imposée. La domestique employée pour les travaux ménagers essentiels et le linge était malade alors que Maitresse Ava devait partir dès le lendemain chez une amie dans le Luberon. Il restait surtout beaucoup de linge à laver ainsi que les sanitaires et les sols à faire briller.

Je trouvais le prétexte d’un dégat des eaux dans mon studio pour poser une journée de congès et partir immédiatement malgré l’agacement de mes collègues de bureau. Maitresse m’attendait sur le pas de la porte et me fit remarquer que ma tenue d’obscur comptable n’était guère adaptée pour faire efficacement le ménage.

« Bien Boris, tu va te mettre nu avec juste sur le devant le tablier que porte ma domestique . Comme cela, je pourrais cravacher tes fesses si ton travail n’est pas satisfaisant ».

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Durant la matinée, mon travail consista à nettoyer la salle de bain et les toilettes de Maitresse. Lorsqu’elle venait pour vérifier si la propreté était parfaite, elle me demandait de me mettre à genoux devant elle, les mains derrière le dos, à sa disposition pour recevoir les gifles dont elle a le secrêt. En fait, tant que cela ne brillait pas suffisamment à son goût, elle me le faisait savoir avec agacement et repartait rapidement dans son bureau. Lorsqu’enfin les carrelages étaient devenus étincellants à force d’être essuyés dans les moindres recoins, elle esquissait un sourire.

« Approche-toi, Boris, tu mérites maintenant quelques encouragements »

Les deux gifles claquaient immédiatement. Le choc au départ douloureux laissait place à un exquis sentiment d’appartenir à une belle souveraine, et au plaisir de l’admirer dans une posture si autoritaire.

Pour le nettoyage des sols, essentiellement constitués de parquets, occasionnellement recouverts de tapis, il me fut imposé de rester à quatre pattes pour passer nettoyer et cirer. Maitresse venait également à de courts intervalles pour inspecter le résultat, une cravache à la main. Elle me frappait le postérieur par de petits coups secs tout en téléphonant à ses amies.

« Ah oui, , ma femme de ménage est tombée malade et j’ai du trouver un esclave pour la remplacer. Comme il manque de pratique, je dois user de la cravache ; Non, ce n’est pas forcément désagréable ».

Pour le déjeuner, Maitresse Ava se fit livrer un plateau fraîcheur par un traiteur renommé. Elle m'autorisa à venir et me jeta quelques morceaux de tomate séchée sur le sol qui venait d’être nettoyé. Je les pris un par un dans la bouche et léchait immédiatement le jus qui s’étalait. La belle dominatrice se saisit ensuite un morceau d’avocat et l’écrasa avec la pointe de son escarpin ; elle me désigna d’abord le sol puis ensuite le dessous de sa semelle à lècher. Mon seul moyen d'hycration fut d'avaler divers cristaux de glace pilée qui accompagnaient le plateau et qu'elle s'amusa à disséminer autour de sa chaise.

« C’est dommage Boris que tu ne puisse pas venir dans le sud. J’espère que le bel italien dont Reine-Azure m'a parlé sera aussi amoureux et masochiste que toi. Lèche encore un peu le parquet puis tu pourras commencer le repassage ».

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Effectivement, l’intégralité de après-midi fut consacré à repasser. La belle dame eut à s’absenter quelques dizaines de minutes pour aller chez son coiffeur et elle m’enferma dans la buanderie où se trouvait le bac à linge et tout le matériel destiné à son entretien. J’en profitai pour débusquer parmi les nombreux vêtements accumulés, la lingerie fine que Maitresse avait pu porter ces derniers jours afin d’admirer, d’humer, de chérir les précieux dessous qui avaient couvert son corps sublime. En explorant des yeux et des narines un string Victoria Secret à la fois minuscule et composé de dentelles très raffinées, je repensais au message du Prince Charles à son amante Camilla qui avait fait le tour des média « Je voudrais être ta petite culotte ». Nous étions certainement beaucoup d’hommes à rêver de nous retrouver ainsi écartelés dans l’entrejambe d’une dame de grande classe.

Après avoir déposé mille baisers sur tous ces dessous chics, mais également des chaussettes de sport et un maillot de bain, je redoublais d’ardeur pour avancer dans mon travail. Il fallait en plus faire preuve de délicatesse avec le fer, car les coupes de vêtements étaient sophistiques, les tissus précieux et souvent équipés de strass, de dentelles.J’espérais ainsi pouvoir terminer avant la fin de la journée. Maitresse qui était rentré depuis déjà longtemps ne m’ouvrit la porte que vers dix-sept heures.

« Dépêche toi Boris, il te reste moins de deux heures. Si tu n’avais pas perdu vingt minutes à renifler ma lingerie comme un vieux pervers, tu aurais presque terminé !! ».

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Mon visage rougissait de honte, et les coups de cravache de Maitresse Ava eurent également le même effet sur le reste de mon corps. La fin de l’après-midi fut pour moi terrible de peur de décevoir la belle dominatrice et de risquer une exclusion au moins temporaire de sa liste de soumis attitrés.

Elle revint juste avant l’heure de dîner, et inspecta les piles de vêtements qui semblait parfaitement rangées aux quatre coins de la pièce.

« C’est pas mal Boris, tu est une bonniche presque acceptable. Allonge-toi par terre !! »

Je m’attendais surtout à recevoir en guise de récompense une succession de gifles avant d’être renvoyé chez moi. Mais Maitresse Ava eut également l’idée de me laisser un souvenir moins périssable. Elle fit glisser doucement le long de ses jambes un adorable sting de dentelle mauve, le saisit et me gifla plusieurs fois avec cette sublime étoffe. Puis, elle me l'enfonça dans la bouche avec son talon aiguille, me demandant de lui rapporter en parfait état lorsqu’elle rentrerait de voyage.

Mille Merci Maitresse, pour cette récompense, je suis prêt à devenir votre bonniche pour toujours .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Boris - Publié dans : Boris témoigne de sa totale soumission
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