En cette fin Septembre, l'eau est encore un peu froide dans la piscine de Maitresse Ava, bien que le jardin soit parfaitement ensoleillé et abrité. Les nuits sont désormais plus fraîches et ne permettent plus d'atteindre les 25 degrès qui rappellent à Maitresse ses vacances sous les tropiques. Allongées dans leur transat, les deux belles dames ordonnent que l'on réchauffe cette piscine afin de pouvoir en profiter; il nous faut également placer un pediluve en plastique à l'entrée du bassin avec une eau plus tiède .
Avec Bruno, l'esclave de Maitresse Reine Azure, nous nous empressons de vider plusieurs sceaux que nous allons remplir d'eau chaude dans la cuisine; nous sommes encouragés par de multiples coups de cravache qui s'abattent sur notre dos dès que nous ralentissons la cadence.
Puis après voir mis la main pour apprécier une température devenue tiède, les deux dominatrices font venir à leurs pieds leur esclave respectifs pour les récompenser. La récompense est d'abord constituée d'une série de gifles assénées sans la moindre retenue puis l'autorisation de lécher puis masser leurs pieds divins avant que ceux-ci n'aillent se tremper dans la piscine. Maitresse Ava porte un magnifique maillot une pièce très échancré au niveau des cuisses et décoré par des petits strass.
Une fois dans l'eau, les deux belles dames s'amusent à nous éclabousser alors que nous devons rester à leur disposition de chaque coté de la piscine, engoncés dans nos tenues de valets. Elles font en ce début d'après-midi plusieurs aller-retour entre leur transat et le bassin turquoise; à chaque passage, elles prennent soin de tremper leurs pieds dans le pédiluve afin de les garder d'une propreté parfaite.
Vers seize heures, tout en nageant élégamment d'un bout à l'autre de la piscine, Maitresse Ava me demande d'aller leur préparer un thé Darjeeling Impérial de chez Fauchon. Lorsque celui-ci est prêt Maitresse et son amie prennent place sur deux transat et nous demandent en l'absence de table, de tenir le plateau sur lequel elles posent leur tasse entre deux gorgées, puis prennent un sablé aux amandes pour se remettre de leurs efforts. Bruno et moi restons à genoux, les bras tendus et plein d'admiration pour ces deux dominatrices gynarchistes qui ont décidé de mener une existence de reine. Maitresse Ava plaisante :
- En général, lorsque je prend du thé, Boris a ensuite droit à une dégustation un peu particulière. N'est-ce pas Boris ? - Oui maitresse dois-je répondre honteusement sous l'oeil amusé de Maitresse Reine Azure.
- Mais après ce bain délicieux, Boris, j'ai surtout besoin d'un massage complet et attentionné. Abaisse le dossier du transat et masse-moi bien tout en restant à genoux.
Me voilà enfin débarrassé du plateau qui ankilosait mes bras. Le massage de Maitresse constitue une magnifique récompense qui me permet de d'admirer ses formes sublimes sous cette belle lumière de printemps. Elle est allongée lascivement et a repris sa cravache pour me signifier qu'elle saisira la moindre occasion pour me punir devant son amie. Une amie qui a également demandé à son esclave de masser ses jambes tout le tenant fermement en laisse.
J'essaie de m'appliquer pour masser parfaitement les pieds comme elle me l'a appris, en appuyant à la fois avec douceur et fermeté, sans se presser sur la plante, sur la voute puis chacun des orteils.
Maitresse pousse quelques soupis de satisfaction.
- Tu vois, comme mon esclave n'est pas si mal dressé. Il m'obéit vraiment au doigt et à l'oeil. Masse encore bien le pied droit Boris, sinon c'est cent coups de cravache qui t'attendent. Ma concentration est totale pour satisfaire les désirs de ma déesse; durant ces instant, mon esprit est entièrement tourné vers le service de celle qui me fascine par sa beauté, son élégance et son autorité. Car en plus de la tâche qui m'est assignée, j'essaie de vivre pleinement ces instants de servitude en oubliant le monde réel si désolant, pour me considérer éternellement comme la propriété de cette dame aux mille soupirants. Après 20 minutes, tout en somnolant, Maitresse fait glisser son maillot de bain pour me permettre de masser son dos. Elle découvre l'espace d'un instant une partie de sa belle poitrine déjà hâlée avant de se coucher à nouveau sur le ventre.
Destabilisé par l'érotisme de Maitresse Ava, j'oublie le plateau posé sur la pelouse et renverse la théière qui n'était pas encore vide. > Au même moment, Maitresse Reine Azure reproche également à Bruno d'avoir regardé avec insistance les seins de Maitresse Ava. Celle-ci nous lance avec un sourire moqueur :
-Vous méritez tous les deux une punition exemplaire. Vos postérieurs vont avoir besoin de plusieurs jours pour s'en remettre. Nous devons vite nous présenter à quatre pattes et baisser nos pantalons pour être battus et humiliés. Les coups de cravaches pleuvent et martyrisent notre épiderme pourtant habitué à être fouetté. Nous souffrons mais retenons nos cris de peur que le voisinage nous entende, alors que les deux Maitresses se félicitent tour à tour des marques qui apparaissent sur nos fesses. Quand les deux dames s'estiment satisfaites, nous pouvons nous mettre à genoux devant elles alors qu'elles se concertent en vue d'une autre punition. Maitresse Reine Azure a l'idée d'une bonne manière de conclure cette après-midi ensoleillée.
- Maintenant, vous allez devoir boire l'eau du pediluve afin qu'il n'en reste plus une goutte. Celui qui ne boira pas assez vite continuera à subir nos coups de cravache.
Alors que nous sommes à genoux devant le pédiluve; impressionnés par les deux litres d'eau à avaler, par les nombreux brins d'herbes qui s'y sont déposées, nos maitresses jouent en s'asseyant sur notre dos, et usent de leur cravache afin de m'encourager.
- Tu vois Boris, ce n'est pas du Champagne, mais si tu est vraiment amoureux de mes pieds, ce sera davantage une récompense qu'une punition. "
Images empruntées : www.menareslaves.com, l'un des meilleurs sites en la matière.