L'autre soir, j'ai reçu un petit nouveau d'environ 35 ans, un joli belge de passage qui est venu se livrer à mes dominations. Il ne m'avait pas trop parlé et donc, c'est au fur et à mesure que j'ai pris connaissance de la sensibilité de ma proie. Non pas que je me soumette aux désirs de l'autre, mais parce que susciter le désir de don de soi d'un joli garçon ou d'un homme mur bien entretenu, me procure toujours un plaisir intense.

Tout d'abord, mon petit homme-objet a eu à se mettre nu-à-quatre-pattes devant moi. DE cuir et de vynile vêtue. ET à bien se cambrer pour faciliter mes palpations manuelles : petit-cul bien étroit, couilles bien dures, queue de femelle en rut, yeux baissés et visage offert à mes caresses, puis à mes gifles, voilà ce que mon petit Belge se mit à m'offrir dès la première minute ! Et de toute évidence, se donner jusqu'à la lie, encore plus et toujours plus, était ce que voulait ce garçon. De toute sa volonté de soumis.

Très vite il eut à accepter la cravache. Tout d'abord par petites volées sur l'anus-puni, bien offert, à genoux, en position humiliante, c'est à dire présenté ouvert par les deux mains, la tête posée en avant sur la moquette. En position de prière. Bien penché. Cul bien tendu.

De toute évidence, ce cul de garçon réclamait la pénétration, mais pour l'obtenir, il eut à accepter 20 coups de cravache sur les fesses. Sachant que les premiers coups resteraient assez doux, mais qu'ils gagneraient assez vite en intensité pour devenir très durs.
Malheureusement pour lui, le petit belge oublia de compter, et du coup, il eut à subir, non seulement 10 zèbrures supplémentaires, mais quelques gifles sévères!
De là, j'eus envie, avant l'enculage qui avait à se mériter, d'un bon face-sitting savant destiné à attiser encore plus mon désir. Bien-sûr, gifles et consolations contre les seins, furent au rendez-vous... et pour la cérémonie de l'enculage, mon soumis eut droit à la cagoule de latex, aux pinces à seins, au garrotage des couilles avec cadenas, aux menottes en acier pour entraver les poignets et à celles en cuir pour entraver les chevilles !

Ainsi équipé, qu'il était beau et désirable, mon petit soumis-chéri, et qu'il me donnait envie de le prendre avec ma jolie petite queue de Maîtresse, bien longue et bien dure...
C'est ce que je fis après l'avoir obligé à une longue fellation, l'obligeant à bien avaler la queue comme une goulue. Finalement, je pris ma salope en levrette. Longuement et lentement pour ne pas provoquer encore la jouissance. Et ce fut contre ma botte que mon homme-objet du jour eut à se branler et à jouir! "

 

Texte authentique de Maitresse Ava. Mars 2011.

 

Merci divine Maitresse pour ce récit qui m'a donné des frissons, et montre que vous savez aller très loin dans la domination de vos esclaves.

"C'était il y a quatre ans. L'un de mes meilleurs souvenirs de vacances....

Les Grenadines! Nous avions choisi les Grenadines pour partir naviguer deux semaines afin de nous réchauffer le corps et le coeur.
Qui? Moi et trois charmantes amies, dont une célèbre dominatrice américaine qui nous avait procuré par l'un de ses meilleurs boy-friend, un magnifique bateau et son équipage.

Pour ma part, j'avais invité deux dames moins aguerries que nous, mais qui ne demandaient qu'à apprendre. Et vu la douceur de l'eau, des îles et du climat, la gentillesse de l'équipage, de toute évidence "bien formé", cela arrivé très vite...

Soumis, les garçons d'équipage l'étaient de toute évidence. Stylés aussi, car on avait le sentiment que nous plaire et nous rendre la vie douce était leur seule préoccupation.
Belle musique, escales sublimes, repas divins, massages sensuels, voilà comment débuta le programme. Mais peu à peu mon amie domina se mit à exercer ses volontés, exigeant léchage des pieds, de l'anus, poses humilantes des garçons de service.

Etonnées, les deux françaises se choquèrent un peu au début, mais très vite elles prirent goût à l'exercice de l'autorité sur de jolis garçons consentants et disposés à plaire.Et ce, dans un cadre paradisiaque appelant aux plaisirs et à la volupté.


Plus tard, j'appris que certains de ces garçons étaient de riches américains qui jouaient aux serviteurs. D'ailleurs, le propriétaire du magnifique bateau était l'un d'entre eux. Je ne sus jamais lequel. Cela restera un mystère...."



Texte authentique écrit par Maitresse Ava.
Merci à vous, divine Maitresse pour ce magnifique cadeau de noël !!!

Parmi tous les avantages du positionnement de dominatrice, disposer d'une multitude d'hommes offerts, est sans doute le plus délicieux.
Car comment se contenter d'un seul, alors que tant de petit-culs, de petites bouches et de docilités masculines se donnent jusqu'à plus soif ?

Personnellement j'aime les hommes. Les jeunes, mais aussi les plus murs. Les sportifs tout autant que les intellectuels. Les grands métis tout autant que les petits blonds comme Boris.
Du moment qu'ils se soumettent à mes désirs, s'efforcent de me plaire, consentent à appartenir et à plaire.

Bien-sûr, je les aime agréables, courtois, sensuels sympathiques et avenants. Mais jouir d'une grande variété d'hommes-objet ne peut que combler une Maîtresse comme moi. Et je ne parviendrais plus, je l'avoue, à revenir, comme je l'ai vécu naguère, à la consommation d'un seul.

En effet, chacun excelle dans un domaine en particulier. Et il est impossible, à un seul, de fournir toutes la palette des plaisirs qu'assure la multitude.  D'autant plus que chacun s'efforce de plaire autant que faire se peut. Que je suis habituée à la qualité de la prestation masculine. Que je n'accepterais aucun laissé-aller. Aucune baisse de qualité dans les plaisirs que j'exige.

Boris a révélé son acceptation de faire partie de mon cheptel. Il en a expliqué les raisons et j'ai eu plaisir à le lire. A reconnaitre son dévouement et son acceptation à mon endroit.

Belle profession de foi attestant d'une volonté sacrée : celle de plaire à sa Maîtresse!

Texte authentique de Maitresse Ava - Avril 2009.
Image modifiée d'après création de www.sardax.com