Les illustrations de Namio l’avaient particulièrement amusée, avec ses dessins minimalistes mettant en scène des petits japonais écrasés sous les fessiers de dominatrices de style Rubens. Mais en fait, il existe un autre artiste dont les œuvres sont bien davantage en phase avec la domination pratiquée par Maitresse Ava.



En effet, le monde de Sardax représente une forme d’absolutisme de la domination féminine, dans des décors de science-fiction parfois grandiose. Les maitresses se dotent cette fois-ci d’une classe infinie tout comme l’est notre déesse préférée : leur corps est élancé, svelte, leurs longues jambes se prolongent par des talons sublimement hauts qui constituent de véritables armes de destruction, leurs tenues excellent dans le raffinement pour illustrer leur statut de châtelaines aux pouvoirs infinis.

Les esclaves masculins doivent également être très athlétiques, soumis à un régime strict, obligés d’effectuer des travaux pénibles ou de subir des humiliations très contraignantes sur le plan physique. Ils ne croupissent pas systématiquement en position de lècher, ou d’avaler l’urine des maitresses, mais deviennent des domestiques privés de tout réconfort, de toute récompense, de tout plaisir sexuel en dehors de scènes où les maitresses d’amusent à les engoder.

Il est d’ailleurs possible à une déesse de s’offrir des dizaines d’esclaves domestiques ou sexuels condamnés à vivre dans un immense harem. Sardax par son génie restitue parfaitement ce monde totalitaire qui est à la fois un paradis pour les belles dames qui y sont invitées, mais également un enfer délicieux pour nos fantasmes de soumission.


Images issues de montage, ou originales venant de :
www.sardax.com
Dont j'ai pris un abonnement payant il y a qq mois; cela en vaut la peine.