Jeudi 20 août
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23:21
Lorsque les évenements font qu'il ne m'est pas possible de rencontrer ma Maitresse durant plusieurs semaines, l'attente qui en résulte devient des plus
insupportable.
Pour reprendre les paroles d'une chanteuse célèbre (d'ailleurs plus célèbre que chanteuse ...), on peut vraiment dire "qu'elle est ma came" et que rien n'égale le sentiment de lui
appartenir.On peut en effet parler d'une profonde addiction lorsque l'on revit ces instants où elle nous tient totalement en sa possession, à genoux, à quatre pattes, en
laisse, dans une totale béatitude à attendre le prochain ordre,la prochaine exigence, la prochaine punition ou la prochaine récompense (une récompense est une punition, un travail où
l'esclave peut espérer prendre un plaisir tout relatif).
On éprouve à la fois une grande impatience, que l'on doit contenir pour rester l'objet de cette dame, mais également la crainte d'être mis à l'épreuve comme jamais et de ne pas être cette fois-ci à
la hauteur, la crainte aussi que la douleur ou la contrainte soit insupportable, que l'humiliation soit encore plus difficile à endurer voire rendue publique.
Par exemple, en ce moment, je ferais n'importe quoi pour subir de sa part une paire de gifles cinglantes dont elle a le secret. Maitresse Ava sait gifler un esclave sans sembler
éprouver la moindre colère; elle semble presque indifférente voire amusée lorsqu'elle frappe sans retenue le visage de l'homme qu'elle a décidé de punir, ou à qui elle a souhaité rappeler son
autorité. Son geste très féminin, actionné par un bras gracile, conclu par une main d'une grande finesse est à lui seul un spectacle très érotique.
Et comme Maitresse est dans une forme resplendissante, pratique la natation et la gymastique, ces gifles sont physiquement très éprouvantes. On se retrouve presque sonné, tel un boxeur au bord
du K.O. et on voit quelques instants des étoiles tourner devant les yeux comme dans un dessin animé. Par la suite, même si l'on se remet de cette épreuve, une marque reste parfois bien
visible sur la joue, parfois sur les deux et il faut s'attendre à ce que les gens que vous croisez dans la rue se doutent de quelque chose.
Mais Maitresse est dans ces instants, tellement sublimée par son autorité qu'on ne souhaite que revivre encore davantage cette impitoyable punition.
Esclave Boris,
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