Le blog de Boris, esclave consentant de Maitresse Ava

 

« Tu as eu ce que tu voulais, Boris, tu as bien pris le fouet !!! »
Maitresse avait raison. Cela faisait des mois que je lui parlais de mon souhait de subir une véritable expérience de punition au fouet et dans un lieu approprié. Un lieu où personne ne peut entendre les cris de douleur, et parfois de plaisir des esclaves les plus masochistes. On voit parfois sur certains sites internet, des hommes supporter des scéances de fouet où les dominatrices semblent les frapper sans la moindre retenue, au point de rendre leur corps écarlates, couverts de marques et zebrures. Pour moi, c'était plus que la recherche du plaisir dans la douleur, une manière de prouver ma soumission totale à cette déesse.

Durant nos précédentes rencontres, Maitresse avait comblé toutes mes aspirations d’esclave docile et totalement sous l’emprise de son pouvoir érotique. Elle avait pu constater avec satisfaction a quel point ses ordres étaient éxécutés au doigt et à l’œil, quelle application son nouveau soumis mettait à masser son corps somptueux, à lêcher entre ses divins orteils, parfois des zones plus intimes, mais également jusqu’au dessous de ses escarpins. Progressivement, elle m’avait imposé des humiliations de plus en plus poussées, tenue en laisse, gifles, crachats, piétinement, ligottage prolongé au pied de son lit ou à sa cuvette de toilettes.

Pour elle, j’avais mis ma vie sociale entre parenthèse. De retour de mon travail sans intérêt mais permettant de vivre à l’abri du besoin, je me précipitais sur ma boite mail ou sur mon répondeur téléphonique espérant un message de sa part. Maitresse était comme souvent partie dans sa propriété située sur la Cote d’Azur, et m’avait prévenu qu’elle me convoquerait à son retour dans la capitale.

Après des semaines d’attente, je reçu un appel non pas le soir, mais en milieu de journée sur mon lieu de travail. Maitresse venait de descendre de l’avion et me convoquait d’urgence pour ranger ses affaires dans son appartemment, pour certaines les repasser pendant qu’elle se reposerait. Je faisais appel à toute mon imagination pour trouver le pretexte à un départ du bureau, puis me précipitais au pied de l’appartement de Maitresse.
Elle arriva dans un taxi, élégamment vétue d’un tailleur bleu marine, et me laissa prendre les 2 lourdes valises pour les amener au bas de l’ascenseur.

Après 3 semaines de vacances et de nombreuses soirées, les multiples tenues de Maitresses devaient être triées, soit pour être emmenées au pressing, soit pour être repassées, ou soit encore pour être mises en machine. Les chaussures, bottes et escarpins devaient également être cirées . Ces tâches me prirent le reste de la journée, malgré une grande application au travail, mais ce fut parfois très gratifiant car cela me permettait d’admirer Maitresse qui se prelassait à demi-nue sur son canapé de cuir.

« Tu mérites une bonne récompense, mon Boris, tu vas y avoir droit à ta scéance de véritable maso ». Dans sa chambre, elle appela une de ses amies, avec qui elle eu une conversation ponctuée d’éclats de rire. Un taxi nous conduisit dans les environs de Montmartre et s’arrêta dans une petite rue montante. Un lourd portail métallique s’ouvrit et une femme à l’allure altière nous accueilli. Sophie était une belle dame brune d’une cinquantaine d’année, aux cheveux mi-long, dotée d’une autorité naturelle et me rappelant l’une des cadres sup de mon entreprise. Pour autant, je ne l’avais jamais vu parmi les dominatrices connues de la capitale.
L’amie de Maitresse disposait en fait au sous-sol d’un immense dongeon de torture et d’emprisonnement. Des accessoires parfois inquiétants étaient disposés sur des étagères et de nombreux fouets étaient suspendus au murs. Les lieux disposaient également de plusieurs cages très basses obligeant les esclaves à rester au mieux à genoux. Mais il y a avait surtout dans cette espace sombre, des attaches venant des plafonds, d’autres scellées au sol, pour maintenir un soumis dans la position idéale pour prendre le fouet.

La propriétaire des lieux me pointa du doigt.
« Alors, deshabille-toi, j’ai hâte de te voir souffrir et supplier ta Maitresse »
Une fois nu, on me demanda d’attacher mes chevilles aux chaines scellées sur le sol, mes poignets à celles venant du plafond. Puis Sophie tourna une lourde manivelle qui tira mes bras vers le haut en obligeant à rester debout, et presque sur la pointe des pieds.

Le premier coup de fouet reçu sur le dos fut une surprise. Maitresse ne perdit pas une seconde et commença la scéance à un rythme déjà soutenu avec un fouet court . Les coups n’était pas encore très appuyés mais la répétition sur les mêmes parties du corps rendirent rapidement la douleur presque insupportable. Je poussais des cris, peut-être en raison de cette douleur, mais également parce que pour une fois j’avais l’occasion d’exprimer un masochisme inassouvi.
En effet, la douleur fit rapidement place à une forme de plaisir, un plaisir seulement interrompu par les coups plus sévères portés par Maitresse et qui repoussaient chaque fois plus loin mes limites. Sophie semblait elle aussi apprécier le spectacle, elle riait parfois en entendant mes cris, et m’insultait copieusement. Elle proposait également à Maitresse d’essayer des fouets destinés aux esclaves les plus endurants.

Lors d’une pause au cours de laquelle les 2 dames s’offrirent une boisson raffraichissante, Maitresse enleva son string, s’en servi pour me gifler le visage puis l’enfonça de force dans ma bouche. Sophie s’était également dénudée, et commençait à enfoncer ses doigt dans une toison pubienne très fournie.
Mon corps fut parcouru également de leurs mains, qui pincèrent maintes fois ma poitrine, ma verge, puis me giflèrent en riant.

La deuxième partie de la scéance de fouet fut tout aussi intense que la première. Mon corps était prêt à imploser, ma peau semblait gagnée par une brulûre éternelle. Il m’est sans doute arrivé de perdre connaissance, d’être à deux doigts d’avaler la divine lingerie, car les derniers coups donnés par Sophie furent les plus violents de la soirée.
Finalement, je fus liberé mais du encore rester à genoux, aux pieds des deux dominatrices qui racontèrent leur dernières vacances, sans ne plus me prêter la moindre attention. Maitresse se contenta d’un regard et de quelques mots.

« Tu as eu ce que tu voulais, Boris, n’est-ce-pas ?? »

Desormais, je me sentais totalement en sa possession.
Jeu 8 jan 2009 2 commentaires
Vous aviez exprimé un souhait ; celui-ci est exaucé ! Cadeau de votre Maîtresse à laquelle vous lui devrez donc reconnaissance !
ArchivalLolo83 - le 29/11/2011 à 00h15
Joli récit ! Maîtresse de talent , efficace et sensible aux désirs de son soumis , tout en contrôlant bien la situation ! Au moins après cette séance experte , lui dire merci , car la reconnaissance est aussi une qualité à acquérir !
ArchivalLolo83 - le 08/01/2013 à 20h49